fleche Littérature
- Jiménez Juan Ramón
- Celaya Gabriel
- Darío Rubén
- Hernández Miguel
- Machado Antonio
- Sepúlveda Luis
- Alberti Rafael
- García Lorca Federico
- Mistral Gabriela
- Neruda Pablo
- Otros poetas
- Textes en prose et citations . Textos en prosa y citas

fleche Actualité-Infos
- Archives
- Présentation du collège

fleche Biographies
- Neruda Pablo
- Botero Fernando

fleche Fêtes et traditions (recettes, chansons...)
- Canciones
- Fêtes traditionnelles
- Recetas de cocina

fleche Géographie
- América Latina
- ESPAÑA
- La comunidad de Andalucía - L’Andalousie

fleche Histoire, Arts et Civilisation
- ARGENTINA

fleche Langue espagnole
- Grammaire et Conjugaison
- Jeux et divertissements
- Vocabulaire

Tous les articles de la rubrique :

 
  Vous êtes ici : Accueil > Biographies > Botero Fernando

Fernando Botero,"De pobre a rico"

Botero Fernando, artículo

Version imprimable

"Mi madre se quedó viuda cuando yo tenía cuatro años. Y eso en los años treinta, en Colombia. Iba a un colegio de religiosos en Medellín que entonces era un lugar muy disitinto ... Yo entonces no soñaba con ser famoso y rico, eso no. Quería ser pintor, y ser conocido. Había un grupo de pintores que vivían muy miserablemente, ¡pintores en Medellín ! Se ganaban la vida como profesores de dibujo en la escuela elemental, un sueldito miserable. Pero se reunían por las tardes en un café y hablaban de pintura. A mí aquello me parecía una gran vida, una vida maravillosa. Era lo que deseaba conseguir."

Fernando Botero
en El país semanal

Traducción :

"Ma mère a été veuve lorsque j’avais quatre ans. Et ça dans les années trente, en Colombie. Je fréquentais un collège de religieuses à Medellín qui autrefois était un lieu très différent... Moi à l’époque je ne songeais pas devenir riche et célèbre, pas du tout. Je voulais être peintre, et être connu. Il y avait un groupe de peintres qui vivaient misérablement, peintres à Medellín ! Ils gagnaient leur vie comme professeurs de dessin à l’école élémentaire, un petit salaire misérable. Mais ils se réunissaient le soir dans un café et parlaient peinture. Pour moi cela représentait la grande vie, une vie merveilleuse. C’est ce que je souhaitais atteindre".

Publié par Elche
Le mercredi 3 mars 2004


Réagissez à cet article !