La strophe la plus connue du poème de Sainte Thérèse d’Avila(1515-1582) Religieuse carmélite, a réformé le Carmel. Déclarée docteur de l’Eglise. Patronne de l’Espagne.
Vue de la ville d’Avila
Que rien ne te trouble,
que rien ne t’effraie,
tout passe,
Dieu ne change pas,
la patience obtient tout,
celui qui possède Dieu ne manque de rien
Dieu seul suffit.
La estrofa más conocida del poema de Santa Teresa de Ávila (1515-1582) Religiosa carmelita, reformó la Orden del Carmel. Declarada doctora de la Iglesia. Patrona de España.
Sainte Thérèse d’Avila
Nada te turbe,
nada te espante todo se pasa,
Dios no se muda,
la paciencia todo lo alcanza,
quien a Dios tiene nada le falta
Sólo Dios basta.
Continuación del poema
Eleva el pensamiento,
al cielo sube,
por nada te acongojes,
Nada te turbe.
A Jesucristo sigue
con pecho grande,
y, venga lo que venga,
Nada te espante.
¿Ves la gloria del mundo ?
Es gloria vana ;
nada tiene de estable,
Todo se pasa.
Aspira a lo celeste,
que siempre dura ;
fiel y rico en promesas,
Dios no se muda.
Ámala cual merece
Bondad inmensa ;
pero no hay amor fino
Sin la paciencia.
Confianza y fe viva
mantenga el alma,
que quien cree y espera
Todo lo alcanza.
Del infierno acosado
aunque se viere,
burlará sus furores
Quien a Dios tiene.
Vénganle desamparos,
cruces, desgracias ;
siendo Dios su tesoro,
Nada le falta.
Id, pues, bienes del mundo ;
id, dichas vanas,
aunque todo lo pierda,
Sólo Dios basta.
Canto Eric Costa y coro
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Suite du poème
Élève ta pensée,
monte au ciel,
ne t’angoisse de rien,
que rien ne te trouble.
Suis Jésus Christ
d’un grand cœur,
et quoi qu’il arrive,
que rien ne t’effraie.
Tu vois la gloire du monde ?
C’est une vaine gloire ;
il n’a rien de stable
tout passe.
Aspire au céleste,
qui dure toujours ;
fidèle et riche en promesses,
Dieu ne change pas.
Aime-le comme il le mérite,
Bonté immense ;
mais il n’y a pas d’amour vrai
sans la patience.
Que confiance et foi vive
maintiennent l’âme,
celui qui croit et espère
obtient tout.
Même s’il se voit
assailli par l’enfer,
il déjouera ses faveurs,
celui qui possède Dieu.
Même si lui viennent abandons,
croix, malheurs,
si Dieu est son trésor,
il ne manque de rien.
Allez-vous-en donc, biens du monde ;
allez-vous-en, vains bonheurs :
même si l’on vient à tout perdre,
Dieu seul suffit.
Chant de Jean-Claude Giannada « Dieu seul suffit ».
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Publié
par
M. I. SCRIVAT
Le mercredi 20 novembre
2024
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